Plusieurs ponts n'ont pas survécu durant le temps passé.
Pourtant, les Turcs actuels ont construit deux ponts qui relient l'Europe et l'Asie et ont tiré un trait sur les croyances irrationnelles du passé.
Dum jarmiloj ekzistis legendo, ke iu ponto tra Bosforo chiam detruighus. Pluraj pontoj malaperis.
Tamen nuntempaj Turkoj konstruis du pontojn, kiuj kunligas Eùropon kaj Azion. Tiuj pontoj metas finan punkton al tiuj malraciaj kredajhoj el la pasinteco.
Depuis la nuit des temps, depuis Cham, fils de Noé (dans la Bible), on a dépeint les Noirs comme des êtres d'une autre race et les Occidentaux, convaincus de leur supériorité, leur ont infligé la traite, l'esclavage et la colonisation.
Pourtant, les savants actuels dont Yves Coppens affirment qu'il n'y a qu'une espèce humaine et que tous les humains descendent de Lucy, une femme africaine. On est tous des Africains. Ils ont tiré un trait sur les croyances irrationnelles du passé.
Ekde jarmiloj, ekde Cham, filo de Noa (en la Biblio), oni priskribis Nigrulojn kiel homojn el alia raso kaj Okcidentanoj kun konvinko pri sia supereco suferigis ilin per ellandigo, sklaveco kaj koloniado.
Tamen nuntempaj fakuloj, el tiuj Yves Coppens, asertas, ke ekzistas nur unu homa specio kaj ke chiuj homoj elvenas el Lucy, afrika virino. Ni chiuj estas afrikanoj. Ili metas finan punkton al tiuj malraciaj kredajhoj el la pasinteco.
En bas: Sube: Yves Coppens, anthropologue français /fakulo pri homa Historio (antropologio), Francio
Depuis la nuit des temps, la malédiction de Babel (dans la Bible) veut que les Hommes ne puissent pas communiquer les uns avec les autres.
Depuis la nuit des temps, la malédiction de Babel (dans la Bible) veut que les Hommes ne puissent pas communiquer les uns avec les autres.
Pourtant, un adolescent a inventé une langue universelle qui se développe actuellement d'une manière tout à fait satisfaisante.
Zamenhof a tiré un trait sur les croyances irrationnelles du passé.
Tamen junulo inventis universalan lingvon, kiu kontentige evoluas.
Zamenhof metis finan punkton al tiuj malraciaj kredajhoj el la pasinteco.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire