jeudi 29 juillet 2010
LES MOULINS / LA MUELILOJ
A la frontière franco-suisse tout près de mon village, il y a les Moulins souterrains du Col-des-Roches. Pendant 4 siècles, on y a moulu des céréales et coupé des troncs d'arbres. L'énergie venait d'un cours d'eau souterrain (30 m sous terre).
Che la franc-svisa limo tute proksime de mia vilagho trovighas la subteraj mueliloj de Le Col-des-Roches. Tie dum 4 jarcentoj oni muelis diversajn cerealojn kaj segis arbotrunkojn. Kial subtere? char la rivero fluis subtere (30 m sub la surfaco).
lundi 26 juillet 2010
DRAPEAUX / FLAGOJ
La population a été priée de pavoiser.
Après consultation du dictionnaire, je constate que cette demande ne spécifie pas quels drapeaux il faut installer. Pour cette raison, j’ai laissé libre cours à ma fantaisie. Sur la photo à gauche, vous voyez le drapeau d’une région appelée le Toit du Monde. Son nom commence par un T et elle est occupée actuellement par le grand voisin au drapeau rouge. Le deuxième drapeau à mon balcon est le drapeau de la PAIX avec 7 lignes des couleurs de l’arc-en-ciel. Le troisième, vert, est celui de l’espéranto. Le quatrième, rouge avec un secteur bleu et un soleil blanc, est celui d’une île isolée et triste qui n’est même pas un pays… Son nom commence par un T et presque aucun Etat ne trouve le courage de reconnaître cet Etat par crainte de froisser non le drapeau mais le grand voisin au drapeau rouge.
La svisa nacia festo okazos la unuan de aŭgusto.
La registaro de mia vilaĝo petis la loĝantojn ornami la domojn pere de flagoj.
Mi unue konsultis vortaron por scii, ĉu tiu ornamado postulas flagadon per iu certa flago. Ne. Do mi fantazie elektis kvar flagojn. La unua maldekstre rilatas al regiono nomita Tegmento de la Mondo. Ĝia nomo komenciĝas pere de T. Nuntempe ĝi estas okupata de la granda najbaro kun ruĝa flago. La dua estas la flago de PACO kun la sep linioj de la ĉielarko. La tria estas la flago de esperanto. La kvara estas la flago de izolita insulo trista, kiu eĉ ne estas ŝtato… Ĝia nomo komenciĝas per T kaj preskaŭ neniu ŝtato kuraĝas rekoni tiun ĉi ŝtaton timante ĉifi ne la flagon sed la grandan najbaron kun ruĝa flago.
vendredi 23 juillet 2010
TRAINS / TRAJNOJ
Je viens de faire plus de cent heures en train en Mongolie et en Russie. Y aurait-il un effet de manque??
Non! Mes petits-fils m'ont demandé d'aller visiter le "Swiss Vapeur Parc" au Bouveret, à l'extrême est du lac Léman. Chose faite le 22 juillet.
Mi jhus pasigis pli ol cent horoj en trajnoj en Mongolio kaj Ruslando. chu mi suferas je senigado??
Ne!! Miaj nepoj petis min iri viziti "Swiss Vapeur Parc" (vapeur = vaporo) en Le Bouveret, tute oriente de la lemana lago. Tion ni faris la 22an de julio.
PHARAONS NOIRS / NIGRULAJ FARAONOJ
Après les études de Cheikh Anta Diop (1923-1986) anthropologue sénégalais, dans les années soixante,
Après la publication de Claude Rilly traitée dans un article dans "Le Temps"du 8 avril 2010 et dans "le Monde" du 3 avril 2010,
Après la remarquable étude de Kanyana Mutombo, docteur en sociologie, publiée dans les Actes du Premier Congrès Européen en 2006 consacré à la problématique du racisme anti-Noir (CRAN, 2008),
Après la publication de "Mes étoiles noires, de Lucy à Obama" de Lilian Thuram aux éditions Philippe Rey en 2009,
Les premiers pharaons étaient noirs.
Mais la résistance en Occident contre cette thèse est forte. Un important travail d'information s'impose.
Kinshasa, 22/07/2010 / Politique
Sensationnelle et énigmatique découverte signalée dans la province du Kasaï occidental, celle d’un vase indiscutablement de l’art pharaonique, ce qui relance le débat sur l’influence antérieure de la civilisation négro-africaine sur la splendeur des anciennes dynasties royales d’Egypte
Les archéologues vont trancher : l’affaire de cette vase qui correspond curieusement à la petite cuve dans laquelle les Egyptiens auraient conservé les organes internes d’un Pharaon à sa mort, notamment le foie, et qui représentait la direction Sud, a circulé dans le plus grand secret dans les milieux politiques et culturels de la France avant d’être révélée.
L’Egypte présente la caractéristique unique d’avoir été le berceau d’une civilisation extrêmement originale qui s’est maintenue continûment, et quasiment sans emprunt extérieur pendant près de trois millénaires, entend-on toujours dire. Mais cette affirmation risque d’être contredite. Et pour cause: la découverte dans une mine d’or, à Kakulu, un village situé dans les environs des localités de Kabemba et Konyi, à plus ou moins 200 km de Kananga, au Kasaï occidental, d’une de quatre vases canopes jadis utilisées dans l’Egypte antique pour conserver les organes internes du Pharaon, notamment le foie, les poumons, l’estomac et les intestins.
Au nombre de quatre, ces vases très recherchés dont l’un vient d’être repéré sur le sol RD-congolais représentent les quatre âmes d’Horus l’ancien, eux-mêmes secondés dans leurs tâches par une déesse. Ils étaient, selon les chercheurs dont AfricaNews a plongé dans les études, fabriqués en calcaire, en albâtre, en terre cuite, en céramique ou en faïence et étaient déposés près du sarcophage, dans la chambre funéraire du tombeau, sur une caisse ou une cuve.
Si le chiffre 4 représente les quatre directions, selon les égyptologues, l’homme et la déesse Isis protègent le vase canope contenant le foie et représentant le Sud, ce qui correspond à la découverte du RD-Congolais Mohamed Betu Abba. La pierre verte prisée par les Reines égyptiennes pour le maquillage y également été trouvée. C’est également au Sud, et encore en RD-Congo, précisément sur la rivière Lualaba qu’a été découverte en 1918 un Osiris en or. Les Egyptiens et leurs Pharaons auraient-ils vécu en RD-Congo avant de migrer au Nord ?
Les archéologues tentent d’y trouver une réponse. En attendant, l’histoire du vase de Kakulu a circulé dans les plus hauts milieux politiques et culturels français avant de nous être contée. La découverte, y croit-on, peut permettre de réécrire une page d’Histoire de l’Afrique. Débat suscité.
Après une première découverte d’un Osiris en or faite en 1918 sur la rivière Lualaba, dans le Katanga, la même zone lubaphone, Mohamed Betu Abba, un exploitant de l’or, vient de découvrir, dans une mine d’or ouest-kasaïenne, un objet d’origine égyptienne. Et il estime, avec conviction, que cela vient remettre en cause la théorie selon laquelle la civilisation égyptienne n’a pas subi l’influence négro-africaine. Les archéologues devront s’investir pour que la lumière jaillisse.
Au mois de novembre 2009, Mohamed Betu Abba, dans sa routine dans une mine d’or de Kakulu, un village localisé dans les environs de Kabemba et Konyi, à plus ou moins 200 km de Kananga, au Kasaï occidental, tombe pile sur un objet d’art qui ne manque pas de retenir toute son attention. Entre la peur et la curiosité, il sort l’objet du cours d’eau et constate qu’il s’agit d’une œuvre ancienne qui est loin d’avoir des origines kasaïennes, RD-congolaises. Gardé jalousement pendant quelques mois dans ce coin de la province, l’objet se retrouvera à Kananga une fois que Mohamed se rendra dans cette ville plusieurs mois plus tard. De là, il toque à plusieurs portes censées lui apporter de la lumière sur cette trouvaille.
Dans cette quête effrénée d’un analyste avisé, Mohamed va se retrouver entre les murs de la société SALOME SPRL, l’entreprise du Français Pascal Rimani, un opérateur culturel très versé dans la chose artistique à Kananga. Rimani prend l’affaire à son compte en s’investissant à son tour dans des recherches d’usage. Il adresse illico presto une correspondance au musée de Kananga dans des termes sans équivoque : « Cette découverte peut permettre de réécrire une page d’histoire de l’Afrique. Il faut pouvoir certifier sans conteste que l’objet a été bien déposé in-situ et non pas charrié par un fleuve ou un autre quelconque cours d’eau », écrit Rimani en recommandant que le site où a été découvert l’objet soit sécurisé avant que des spécialistes équipés des matériels adaptés fassent la visite du lieu.
Car, pense-t-il, s’il existe d’autres objets du genre, il y a lieu de préserver sa stratigraphie. «Un objet hors contexte n’étant pas un élément de datation», précise le patron de SALOME SPRL.
Des détails qui ne trompent pas
Se fiant sur les conclusions du Musée des Confluences de Lyon, en France, avec lequel il a pris langue, Rimani fait une lecture détaillée de l’objet, laquelle a été soutenue par l’égyptologue Coté, en relevant que d’après sa forme, son descriptif et sa matière, il s’agit d’un couvercle de Vase canope. Les Vases canopes étaient utilisés pour conserver les organes internes des Pharaons à leur mort: l’un pour le foie, les autres pour les poumons, les intestins et l’estomac. Quatre au total, ces vases représentent les quatre âmes d’Horus l’ancien, eux-mêmes secondés dans leur tâche par une déesse tandis que le chiffre quatre représente quatre directions.
Il s’agit d’Amset, l’homme et la déesse Isis qui protègent le Vase canope contenant le foie et représentant le Sud -celui qui correspond avec la découverte de Mohamed Betu. Il y a également Hâpi, le babouin, la déesse Nephtys qui protège le Vase canope contenant les poumons et représentant le Nord, Douamoutef, le chacal, déesse Neith, protégeant le Vase canope contenant l’estomac et représentant l’Est tandis que Qebehsenouf, le chacal, la déesse Selket, protège le Vase canope contenant les intestins et représentant l’Ouest.
« Ils étaient fabriqués en calcaire, en albâtre, en terre cuite, en céramique ou en faïence et déposés près du sarcophage, dans la chambre funéraire du tombeau, sur une chaise ou une cuve», stipule la note de lecture. Au cours de l’histoire, ajoute-t-on, le nombre de ces vases ne varia pas mais leur forme, elle, subit une évolution remarquable. Tout d’abord, assez sobres et ventrus, ils deviendront par la suite plus élancés à partir du règne d’Amenhotep III – Nouvel Empire – avec des épaules hautes et une base étroite.
A la basse époque, précise-t-on, leurs formes sont devenues trapues de la même manière que les couvercles ont également évolué. Car, d’abord ronds et plats avant de prendre, au Nouvel Empire, la forme humaine, portant les traits des défunts. C’est à partir de la XVIIIème dynastie, qu’apparurent les couvercles représentant les quatre fils d’Horus, quatre génies dont les trois à tête d’animal, une représentation qui se généralisa à l’époque ramesside.
L’un des quatre vases jamais trouvés nulle part, étant ainsi découvert au Kasaï occidental, il est fort probable que les trois manquant se trouvent dans les parages du site où l’autre a été trouvé. C’est là que les autorités et d’autres scientifiques RD-congolais sont tenus de remuer leurs méninges en vue de replacer la RD-Congo au centre des débats innovateurs et que le pays retrouve peut-être une place qui lui revient au niveau de l’histoire de l’humanité.
La chose a intéressé les milieux politiques et culturels français, notamment le ministre Frédéric Mitterrand, déjà cité dans ces colonnes dans l’affaire du panier Kuba, et le député Michel Terrot, président du Groupe d’amitié France–RD-Congo à l’Assemblée nationale française. Terrot devait faire le déplacement de la RD-Congo pour s’enquérir de la situation. Mais il se serait vu refuser le visa.
Laurent Buadi/AfricaNews
TRADUKO SEKVOS.
mercredi 21 juillet 2010
NIKLAUS VON FLUE
En français: NICOLAS DE FLUE
En esperanto kiel en la germana, lia lingvo: NIKLAUS VON FLUE, NIKOLAO DE FLUE... eble...
Nicolas de Flue a vécu de 1417 à 1487 à Flueli-Ranft, dans le canton d'Obwald. A l'âge de 50 ans, il s'est retiré dans un vallon appelé Ranft où il a médité. On lui attibue des miracles. Pour cette raison, l'église catholique l'a canonisé en 1947.
Nikolao vivis inter 1417 kaj 1487 en Flueli-Ranft en kantono Obwalden. En la agho de 50 li retirighis en apuda valo nomita Ranft, li farighis valano. Tie li meditis ermite. Oni atribuas al li miraklojn; pro tio la katolika eklezio deklaris lin sanktulo en 1947.
Tiu personeco interesas min, char li aktivis kiel mediacianto. En 1481, kiam la kantonoj kunvenis en Stans, ili ne atingis samideighon. Oni serchis lin kaj li trovis argumentojn por pacigi la kunvenon. Oni diras, ke li savis Svislandon.
voici le symbole qu'il a utilisé: l'énergie de Dieu vient à lui par trois rayons et il se met au service des autres par trois rayons également.
Autour du village.
GRUERE (JU) (CH)
La Gruyère est une région du canton de Fribourg connue pour son fromage.
Gruère est un lieu près de Saignelégier, dans le canton du Jura, au nord ouest de la Suisse. On y voit un superbe lac.
En Svislando estas Gruyère kaj Gruère.
Gruyère estas regiono en la kantono Fribourg (Friburgo) konata pro fromagho.
Gruère (gruer) estas loko apud Saignelégier en kantono Jhuraso en nord-okcidenta parto de Svislando. Oni vidas tie belegan lagon.